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Tchac

19 novembre 2007

"La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie." Malraux

        Parce que j'ai osé lui dire ce que j'ai une fois pensé, j'ai l'impression qu'on me regarde comme une folle. On éatit dans notre bain moussant, avec comme seule source de lumière, les bougies. On s'était enfermé dans notre solitude pour être en face à face. On avait bu, mais on savait ce qu'on faisait. J'était bien, j'étais heureuse, car j'étais avec toi, et personne d'autres. Parce que j'étais heureuse, j'aurai voulu avoir de l'arsenic sous la main. Un peu pour toi, un peu pour moi, et on serait parti ensemble pour toujours... Je veux mourir avec toi, pour pouvoir être sûre que tu ne seras à personne d'autres, pour que je ne puisse plus jamais être à un autre que toi.

        Hier soir, je t'en ai parlé. On n'a que 20 ans, je le sais. On a encore toute notre vie devant nous, je le sais. Mais rien ne me garantit de ce qui se passera demain. Au moins, j'aurai pu être sûre qu'on serait ensemble. Mais non, tu n'as pas voulu entendre, tu n'as pas voulu savoir. Et je suis restée seule dans mes idées que tant de personne toruverait stupide. Mais je ne veux pas savoir de quoi demain sera fait tant que je suis heureuse avec toi. Je ne veux pas vivre demain, si je suis heureuse aujour'dhui avec toi. Et si demain, tu n'es plus, qu'est ce que je serais à part une moins que rien. Tu es ma vie. Si tu pars, je partirais aussitôt. Mais personne ne comprend. Je le dis, mais je na'i pas le courage de passer à l'acte. Parfois, j'ai même envie de te tuer pour qu'on puisse être ensemble, pour que tu ne sois que à moi. Je ne peux pas partager quelque chose d'aussi précieux que toi. Mais il n'y a personne pour comprendr eun esprit ausis tordu que le mien...

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10 octobre 2007

Comme un macaron...

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Comme un macaron,, on ne voit que la couleur extérieur, sans jamais savoir quelle saveur on contient. Je suis rose, est-ce de la framboise ou de la fraise? Ou encore, je cache une saveur plous exotique, la rose? Je suis jaune, et on me prend toujours pour un citron, et qui me dit que je ne suis pas à l'olive, ou au fruit de la passion?

Il faut arrêter, par respect, par amour de chaque être, de ce qu'il cache au fond de soi, de ce qu'il est en vrai. On est tous des macarons, coincés par les autes, écrasés par ceux du dessus, rabaissant toujours ceux du dessous, et pourtant, qu'est-ce qu'on a de plus ou de moins, à part ce qu'on est? Chaque jour, on est jugé, par nos gestes, nos paroles, et notre apparence. Quel monde simpliste. "Regarde celle-là, comme elle s'habille, y'a aucun doute qu'elle fasse le trottoir!", "T'as vu comme il est mal habillé, un vrai clochard." Pourquoi personne  ne pense jamais à regarder plus loin que ce que nos yeux nous montrent?

10 septembre 2007

Because it is love...

        Parce que je l'aime, il faut que je lui dise. Puisqu'il m'aime aussi, je peux le lui dire. Parce que nous deux, on est fait pour être ensemble. sans lui, je ne suis rien, avec lui, je ne suis rien non plus, il est mon paradoxe, il est mon amour, mais il ne sera jamais le seul, il est mon amant, et mon fiancé. Mes pensées qui ne voleront jamais à lui ne sont que les pleurs sincères d'un enfant. Je ne sais pas comment faire pour redonner à notre amour cette quiétude nuageuse, ce monde qui n'appartenait qu'à nous a fui, parce que c'était de l'amour... et maintenant?

28 août 2007

Love is loneliness...

        Je l'aime, je l'aime, je l'aime plus que ma propre vie, je l'aime plus que Mouthy, je veux tout le temps être avec lui, il rentre, et il me manque déjà, je veux porter son odeur, je l'aime tellement... J'ai peur de l'aimer trop, j'ai peur de l'aimer plus, j'ai peur de l'aimer à en perdre la raison, je ne veux pas l'étouffer, je veux qu'il puisse vivre sa propre vie, je veux aussi vivre la mienne, mais ma vie sans lui ne vaut rien... Je l'aime comme le soleil se lève chaque jour à l'est, et le jour où il se lèvera à l'ouest, je l'aimerai quand même davantage, je l'aime autant qu'il existe d'horreur et de beauté sur Terre, autant que les nazis ont massacré les juifs, plus que les premiers flacons de neige qui tombent sur son nez, les montagnes de la Suisse, la tour Eiffel de la France, chaque guerre civile qu'il a existé, mais rien de tout cela ne peut décrire l'amour que je lui porte, l'affection que je lui offre, la joie qui m'emporte quand je le vois. Rien sur cette planète n'est plus beau que ton sourire, si on ne prend pas en compte tes yeux, tu es tout pour moi...

        Je l'aime je l'aime, je l'aime tellement que je ne veux personne d'autres, je ne veux que lui, il est le seul pour moi. Sans lui, ma vie n'est rien, entouré de qui que ce soit, il est mon unique, mon seul, mon amour. Il gonfle ma joie, et supporte mes larmes. Il est le rire de mes futures enfants, mon bonheur de les voir grandir et l'appeler "papa". Mon amour pour lui m'enferme dans mon monde, il détruit ma vie, j'abandonne ceux que j'aime pour celui que j'aime encore plus que moi-même, mais je l'aime, il est tout pour moi, y compris ma solitude...

        Et pourtant, il y a une personne que j'aime encore plus que ça, un amour qui ne se décrit que par un mot: maman.

23 août 2007

Typhon


            Encore un autre jour, qui se lève au-dessus du cimetière. Le soleil semble sortir d'une tombe, comme un revenant, aussi lumineux que les souvenirs qu'on a envie d'emporter afin de se sentir un peu moins seul dans un monde fermé à tous. Un si beau spectacle, et tellement peu d'humains comprennent cette pureté...

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20 août 2007

C'est comme si qu'un typhon s'était emparé du vide...

        Un nouveau blog, pour essayer de m'en sortir de ces heures de solitudes acharnées. Je ne sais pas quoi faire, je veux juste en échapper...

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