Comme un macaron...
Comme un macaron,, on ne voit que la couleur extérieur, sans jamais savoir quelle saveur on contient. Je suis rose, est-ce de la framboise ou de la fraise? Ou encore, je cache une saveur plous exotique, la rose? Je suis jaune, et on me prend toujours pour un citron, et qui me dit que je ne suis pas à l'olive, ou au fruit de la passion?
Il faut arrêter, par respect, par amour de chaque être, de ce qu'il cache au fond de soi, de ce qu'il est en vrai. On est tous des macarons, coincés par les autes, écrasés par ceux du dessus, rabaissant toujours ceux du dessous, et pourtant, qu'est-ce qu'on a de plus ou de moins, à part ce qu'on est? Chaque jour, on est jugé, par nos gestes, nos paroles, et notre apparence. Quel monde simpliste. "Regarde celle-là, comme elle s'habille, y'a aucun doute qu'elle fasse le trottoir!", "T'as vu comme il est mal habillé, un vrai clochard." Pourquoi personne ne pense jamais à regarder plus loin que ce que nos yeux nous montrent?